BMW : PERFORMANCE ET PLAISIR DE CONDUIRE
Spécialisée dans l’aéronautique, la Bayerische Motoren Werke (manufacture de moteurs bavaroise) s’est rapidement diversifiée dans plusieurs activités.
Au lendemain de la Première Guerre mondiale, le traité de Versailles est promulgué et avec lui l’interdiction pour les entreprises allemandes de développer des activités militaires et aéronautiques.
La société doit donc trouver de nouveaux secteurs sur lesquels s’implanter. Le marché de la moto est investi, et en suivant celui de l’automobile.
Concentré sur des modèles accessibles et grand public, le constructeur s’est rapidement tourné vers la production de roadster et autres modèles à caractère sportif.
Après la Seconde Guerre mondiale l’entreprise est au bord du gouffre. Une situation qui ne s’améliore pas avec, en 1951, la reprise de la production automobile et de modèles de grand luxe trop onéreux.
C’est à la fin des années 1950 que tout revient à la normale avec la production de berlines moyennes.
Dès lors, BMW recrée petit à petit une gamme cohérente de coupés et berlines auxquels viendront s’ajouter, au fil des ans, des modèles plus luxueux, des breaks et des SUV tel que le X5.
La signature n’a que très peu évolué avec, à l’avant, la double calandre caractéristique des modèles du constructeur comme sur le X1 ou encore le X3. En parallèle des modèles classiques, des versions sportives ont vu le jour, créées par la division Motorsport.